Ce n'est pas le moindre des paradoxes du
Venezuela de l'après-Chavez : le pays reste assis sur un « tas d'or » (ses
réserves prouvées de pétrole brut sont les plus vastes au monde), mais son
économie va mal, très mal. Tellement mal qu'il aura suffi qu'un ancien ministre
du plan vénézuélien, Ricardo Hausmann, devenu directeur du Centre pour le
développement international de Harvard, s'interroge le 5 septembre sur
l'opportunité d'un défaut du pays pour que les marchés s'emballent. Plusd'information
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